Collaboration Groove x Ladurée
Bien le bonjour tout le monde !
Aujourd’hui, je vous propose du luxe à la française, mais au Japon. Pour cela, je vous propose de découvrir la boutique japonaise d’antiquités françaises : M’amour. Vous allez voir : une bonne surprise s’y cache !
Cette boutique se situe rue Meguro, à Tokyo. Dedans, il est possible d’y trouver en plus des antiquités, des produits d’importation français, parmi lesquels il y a des articles signés Ladurée. Ces articles sont issus de la gamme Thé et Beauté et quoi de mieux pour cette collection que d’être proposée dans un pays où les habitants aiment le thé ?
En tout cas, au milieu d’articles neufs, on peut trouver une poupée Pullip originale. Cette poupée habillée comme un chef pâtissier, porte des vêtements de la marque Ladurée. Bien qu’on ait pas vraiment d’informations à son sujet, normalement elle devrait être vendue à grande échelle et pas en édition limitée. Bonne nouvelle, non ?
L’histoire de Ladurée :
Au-delà de ses macarons parisiens, connaissez-vous l’histoire de cette marque française ?
Tout a commencé en 1862 lorsque Louis Ernest Ladurée, un homme du sud-ouest, crée une boulangerie à Paris au 16 rue Royale, dans le quartier de la Madeleine (c’est drôle pour une boulangerie, non ?). Suite à cela, en 1871 après un incendie, la boulangerie deviendra une pâtisserie.
La pâtisserie est alors redécorée avec des techniques picturales utilisées pour les plafonds de la Chapelle Sixtine et de l’Opéra Garnier. Dans ces nouvelles peintures, l’artiste Jules Chéret intègre des petits anges joufflus, dont un qui est aujourd’hui connu sous le nom de « l’Ange Pâtissier ». Cet ange inspirera plus tard toute la charte graphique de la marque.
Ensuite, quelques années après, la belle-fille de Louis Ernest Ladurée a l’idée de créer un nouveau concept. Elle choisit de mélanger les genres : le café parisien (en plein essor à cette époque-là) et la pâtisserie. Cela donne ainsi naissance à l’un des premiers salons de thé de la capitale.
L’histoire du macaron Ladurée commence avec Pierre Desfontaines (petit cousin de Louis Ernest Ladurée), qui au milieu du XIXe siècle, a eu l’idée d’accoler deux à deux les coques de macarons et de les garnir de ganache. Depuis cette époque, la recette n’a pas changé.
Enfin, les informations de cet article viennent du blog de Groove et du site web de Ladurée.
Que pensez-vous de cette nouvelle collaboration ? Aimez-vous la marque Ladurée ? Qu’est-ce que vous pensez de la boutique Mamours ? Est-ce que la nouvelle poupée Pullip vous plaît ?
Dites-nous tout dans les commentaires. Et surtout, n’oubliez pas de partager cet article !